L'objectif du projet Maths'Discut' est de promouvoir les échanges autour des pratiques pédagogiques des enseignants de mathématiques. Cela se fait à travers des listes concernant les divers niveaux d'enseignement (lycée, collège, liaisons entre niveaux), des listes spécialisées (histoire des maths ou utilisation de l'informatique), des listes pour un dialogue avec les parents et un forum (). Le forum organise, en collaboration avec l'APMEP, des discussions en direct avec des personnalités nommées "Les rendez-vous de l'APMEP".
A noter sur vos agendas :
La prochaine rencontre "Les Rendez-vous de l'APMEP" se tiendra le mercredi 14 novembre de 17 à 19 heures : dialogue ouvert à tous avec Jacques Moisan (Doyen du groupe mathématique de l'IG) et Michel Fréchet (ancien président de l'APMEP) sur le sujet de «l'épreuve pratique au bac».
Il ne s'agira pas d'un match entre les "pour" et les "contre" mais d'un questionnement ouvert à un maximum de collègues, afin que les arguments d'importance, pour ou contre, puissent être perçus de tous pendant cette phase d'expérimentation.
Les deux invités répondront chacun aux questions posées au préalable pendant la tranche horaire prévue, ils n'ouvriront pas de débat entre-eux, de même que les intervenants n'ouvriront pas de débat entre-eux.
La courtoisie et le respect de chacun sont les règles incontournables de ces échanges.
Le forum Maths'Discut est ouvert et se trouve à l'adresse suivante : http://mathsdiscut.sesamath.net/forum/
Je vous rappelle qu'une inscription est nécessaire pour poser vos questions dès à présent et contribuer aux discussions pendant la tranche horaire de mercredi prochain, mais le forum reste en accès libre pour lire les messages en direct de 17h à 19h.
(Message de Coralia Sarrey)
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Le magazine Sciences et avenir de novembre 2007 interroge 60 savants pour nous faire découvrir l'avenir des scientifiques.
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Le mathématicien et logicien allemand Friedrich Ludwig Gottlob Frege est né le 8 novembre 1848.
Il a formalisé entièrement la logique et en a fait un véritable calcul logique : le calcul propositionnel et le calcul des prédicats.
Il est en outre l'un des plus importants partisans du logicisme : c'est à la suite de son ouvrage, Fondements de l'Arithmétique (Grundgesetze der Arithmetik), où il tente de dériver l'arithmétique de la logique, que Russell lui fait parvenir le paradoxe qui porte son nom :
l'ensemble des ensembles n'appartenant pas à eux-mêmes appartient-il à lui-même ?
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Le mathématicien français Michel Rolle est mort à Paris le 8 novembre 1719.
Il a inventé le symbole désignant la racine n-ième d'un nombre et a laissé son nom au théorème de Rolle qu'il n'a établi que dans le cas particulier des polynômes.
Si f est une fonction continue sur [a,b] et dérivable sur ]a,b[ telle que f(a) = f(b), alors il existe au moins un réel c de ]a,b[ tel que f'(c)=0.
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Faut-il croire aux messages venus du ciel ?
En regardant bien, on lit sur cette photo "1 > 8" !
Trouvé sur Flickr
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Cap Canal propose sous forme de vidéos (Real Player) le documentaire "Les maths... et moi" de Fanny Clément (26 min) ainsi que des débats l'accompagnant.
Adrien et Pouya sont en 4ème. Plutôt moyens en maths, ils élaborent ensemble des stratégies plus ou moins rigoureuses pour résoudre leurs exercices. Leur professeur dans le cadre d'une leçon de géométrie explique sa démarche pédagogique en trois temps : découverte, ancrage, application.
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Certains exercices font partie de ceux que tout étudiant en mathématiques doit savoir résoudre: ce sont les "classiques".
Un fil du forum Mathématiques du supérieur de Futura-Sciences recense une trentaine de ces classiques et donne des solutions.
Quelques exemples :
- Une fonction croissante de [0,1] dans lui-même admet un point fixe
- Deux matrices réelles C-semblables sont R-semblables
- Polynômes complexes d'image réelle
- Groupes abéliens de cardinal pq
- Majoration de l'indice de nilpotence
Tout ceci me ramène trente ans en arrière ...
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Le mathématicien italien Scipione del Ferro est mort le 5 novembre 1526.
Il est connu pour sa contribution à la résolution par radicaux de l'équation de degré trois, qu'il ne publia pas, sans doute parce que la chaire de mathématiques de l'université était mise au concours à intervalles réguliers, selon un rituel où la résolution de problèmes d'arithmétiques était au programme.
On pourra consulter la page Equation cubique pour en savoir plus sur les pratiques qui ont mené à la publication des formules de Cardan dans son ouvrage Ars Magna publié en 1545.
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